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C omplice et voisin du Paradis Beach- comber, le Dinarobin Beachcomber Golf Resort & Spa partage avec son aîné, outre un splendide golf, tous les trésors de la nature : la côte de la péninsule du Morne Brabant, la montagne des « marrons », rase et fantomatique, soulignée par une ligne de sable si blanc qu’on la croirait de sucre glace. Dispersés dans un parc d’une vingtaine d’hectares, les bungalows, appartements et villas sont répartis autour de jolies piscines en ardoise, où filent les ombres frileuses des oiseaux. Chaque espaceduparc a son secret. Ici le tecoma au large feuillage et au ramage des cardinals dont les robes s’empourprent l’été venu. Là, le manguier géant où s’écoulent les heures les plus chaudes. Plus loin, desmassifs de rohéos, luminescents sous les dards du soleil, soulignent « Juste avant le jour, avant que la lumière ne soulève les ombres et les couleurs, la nature offre un spectacle sans pareil. Au pied de la montagne du Morne, à quelques mètres de mon bungalow, le lagon, immobile et patient, ressemble à un œil d’ardoise. Il vous prend corps et âme. Nul doute que les navigateurs arabes qui les premiers aperçurent l’île, la découvrirent dans l’heure blanche de l’aube. Ainsi ont-ils donné à l’île le nom de Dina Arobi : l’île d’argent. » l’entrée de votre villa. Le décor a des accents coloniaux, avec le bois des charpentes et des varangues, l’ocre des façades et les tiges de cannes qui recouvrent le toit. Les frangipaniers et les badamiers diffusent un parfum subtil qui se prend dans les tresses d’eau des bassins en cascades... Il doit pourtant renoncer et accepter de se dissoudre – comme vous ! – dans le lagon. Venant du large, la brise iodée invite à la baignade. Et, lorsque vous sortez de l’eau, sa douceur vous enveloppe comme un manteau de soie. Au Dinarobin Beachcomber, la mer des Indes est toujours prête à voler la vedette au golf de 18 trous, comme aux installations sportives ultra-sophistiquées. Pêche au gros, kite-surf, plongée sous-marine parmi les coraux et les dauphins, virée autour du Crystal Rock… L’éternité ne suffirait pas.

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