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I l y a ceux et celles qui choisissent le Shandrani Beachcomber pour fêter leurs fiançailles, leurs retrouvailles, leur mariage – noces de coton, de corail ou d’argent. Ceux-là s’apprê- tent à vivre la magie des fêtes célébrées dans les resorts Beachcomber et officiées par les arti- sans mauriciens. Il y a ceux qui viennent pour la première fois dans l’île et choisissent leShandrani Beachcomber comme point d'ancrage au cœur de l'inconnu. On les reconnaît aisément à leur regard ébloui devant tant de beauté, tant de prévenance et de raffinement : il y a l’hôtel, ses dépendances, ses piscines circulaires comme autant de miroirs du ciel. Il y a le jardin bruissant de l’appel des oi- seaux et ses chemins qui cherchent la mer. Il y a les criques nues – non pas une nudité dé- solée des lendemains de fêtes, mais de celle d’avant toute chose. Elles bordent le resort et veillent sur les secrets des fonds sous-marins de Blue Bay, la plus belle réserve naturelle de l’île. Il y a la bienveillance des artisans Beachcomber, leur expertise sans égale – culinaire, sportive, artistique, thérapeutique… « Chut … Les mains caressent et dénouent mon corps, les serins jaunes et les cardinals se sont invités. J’entends, je ressens aussi, le ruissellement du vent dans les palmes. Les soins thérapeutiques que me prodigue Artee sont dispensés en plein air, sous une paillote au toit de cannes. Le corps délié, huilé d’ambre, la pensée voyage et le monde s’élargit. » Vous, vous avez choisi leShandrani Beachcomber pour faire une dernière halte avant votre départ. Une pause, une trêve, avant le retour vers un Occident survolté... Vous savourez la sérénité du lieu, l’apaisement, l'affabilité contagieuse de vos hôtes. Le mot de fraternité semble retrouver un sens… Un dernier voyage immobile sous une hutte ouverte à la douceur d’une fin d’après-midi. Hammam, gommage aux éclats de vanille, massage shiatsu. Sereine, vous êtes prête. Sans hâte – l’aéroport n’est qu’à quinze minutes –, vous vous préparez à dire au revoir. On ne quitte pas avec indifférence une île qu’on a aimée, ni un lieu où l’on a été reçu comme chez soi. Avant de partir, vous prenez soin de ramasser un coquillage sur votre plage préférée – non pas celles qui bordent le lagon, soupir de la mer, mais celle, unique, qui n’est pas protégée par la barrière de corail et qui ne craint pas les vagues du large. Vous le glissezmachinalement dans votre poche. C’est votre talisman. De temps à autre, vous repliez la paume de votre main sur le coquillage, comme pour vous assurer que le rêve est vrai.

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