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18 Beachcomber, the advent of adventure The Beachcomber story began in 1952 with the Park Hotel in Curepipe, which subse- quently became their registered office. Ten years later, British Airways opened the first direct flight from London, thus hailing the start of high quality tourism. Attentive to the growing demand, the fled- gling Beachcomber group built Le Chaland at about the same time, later renamed Shan- drani Beachcomber Resort & Spa. The island is picture-postcard perfect, espe- cially the southwest. It was here, on the exqui- site Morne Peninsula that, later in the same year, the group built two of its finest five-star treasures: Paradis and Dinarobin. The surrounding lagoons, the infinite patch- work of scents and colours, and the three hundred days of sun each year make the island the perfect holiday destination. Beach- comber has simply added its own idea of beauty, wellbeing and conviviality. In the 1980s and 90s, the group acquired the island’s best-placed hotels, renovating them, renaming some, and adding an unparalleled aura of sophistication. All these establishments and the teams that staff them cultivate the art of beauty in all its facets, beauty of place and of heart. Here everything is art, warmth, and well- being; values that now make up the reputation of Mauritius, now the epitome of excellence. Le groupe Beachcomber a toujours été très attentif à l’idée de sublimer au quotidien la splendeur naturelle des lieux qui leur ont été confiés. Du nord de l’île au sud, des paysages idylli- ques exhalent la douceur et la bonté légen- daire de ses habitants. Un peuple riche de sa diversité, connu pour sa chaleur, son sens de l’hospitalité. De la célébration aussi. Voilà cinquante ans que l’île est indépen- dante, une date concomitante à celle du soixante cinquième anniversaire de la créa- tion de Beachcomber, devenu en quelques décennies le fleuron d’une hôtellerie exclu- sive. Un signe pour ces deux histoires qui se croi- sent dans l’art de la beauté et du respect, celui de ses habitants, de ses visiteurs. Les couleurs de l’indépendance L’île Maurice est aussi surnommée « L’étoile et la clé de l’océan Indien ». Une devise por- tée par le drapeau arc-en-ciel, adopté en 1968, et composé de quatre bandes horizon- tales : le rouge symbolise les flamboyants – l'arbre aux fleurs écarlates emblématique des tropiques – et le sang versé durant la co- lonisation, le bleu la couleur du ciel et de l’océan, le jaune le soleil et les plages au sable d’or, le vert les champs de canne à sucre qui recouvrent la majeure partie de l’île. Un étendard de liberté qui plane sur l'île de- puis cinquante ans… Jamais la petite terre n’a été aussi grande, aussi vaste... Beachcomber, de l’envol à l’aventure L’histoire du groupe démarre en 1952 avec le Park Hotel qui voit le jour à Curepipe, une bâtisse qui deviendra par la suite le siège social de Beachcomber. Dix ans plus tard, la British Airways crée la première ligne aérienne depuis Londres, une démarche qui marque les débuts d’un tou- risme de qualité. CELEBRATION BEAUTIFUL STORY C ette beauté inspirante va permettre au groupe mauricien Beachcomber, dès les années 1950, d’envisager une aven- ture : celle d’inventer le tourisme de l’île, et d’y insuffler au fil des années toute sa magni- ficence. L’infinie beauté de la nature est un prêt, il convient d’en respecter la préservation, et d’en assurer la transmission aux générations futures.

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