Beachcomber Magazine 03

J uste avant le jour, le spectacle est sans pareil. Au pied de la montagne du Morne – classée aupatrimoinemondial de l’Unesco –, le lagon, immobile et patient, ressemble à un œil d’ardoise. Il vous aimante corps et âme... Nul doute que les premiers navigateurs arabes découvrirent l’île au lever du jour. D’où le nom qu’ils lui donnèrent : Dina Arobi, l’île d’argent. Depuis la terrasse de votre chambre, vous êtes aux premières loges. Dispersés dans un parc d’une vingtaine d’hectares, tous les bungalows, appartements et villas se tournent vers la mer, quand ils ne sont pas dotés de piscines, où filent les ombres frileuses des oiseaux. Chaque espace du parc recèle son trésor. Ici, les massifs de bougainvilliers, luminescents sous les dards du soleil. Là, le tecoma au large feuillage et au ramage rouge cardinal. Plus loin, l’immense badamier où s’écoulent les heures les plus chaudes. Et les frangipaniers qui diffusent un parfum subtil que seule la brise iodée du large peut dissoudre. Au Dinarobin Beachcomber, l’océan Indien est toujours prêt à voler la vedette aux jardins, au splendide golf de 18 trous comme aux installations sportives ultra- sophistiquées. Pêche au gros, kitesurf, plongée sous-marine parmi les coraux, virée autour du Crystal Rock. L’éternité ne suffirait pas.  L’ ÎLE DANS L’ ÎLE Complice et voisin du Paradis Beachcomber, le Dinarobin Beachcomber partage avec son aîné un trésor : la péninsule du Morne Brabant.

RkJQdWJsaXNoZXIy NjMzMjI=